GABON DEVELOPPEMENT
Essassa : le camp de police qui transforme les agents en propriétaires

Au sud-est de Ntoum, sur les plateaux rouges d’Essassa, s’étend un chantier de dix hectares qui illustre la volonté du président Brice Clotaire Oligui Nguema de moderniser la sécurité publique durant son septennat. À première vue, le camp de police pourrait sembler modeste face aux mégaprojets routiers ou énergétiques en cours, mais sa portée sociale et son modèle patrimonial en font une pièce maîtresse du puzzle de développement national.

Trente-et-un immeubles R+1 entièrement équipés accueilleront bientôt les forces de l’ordre et leurs familles : neuf bâtiments de deux chambres et vingt-deux de trois, chacun doté de douches et WC privatifs, d’un salon baigné de lumière, d’une cuisine fonctionnelle et d’une terrasse ouverte sur la plaine de Ntoum. L’architecture, inspirée du logement résidentiel de standing, marque une rupture nette avec les casernes traditionnelles.

Le caractère réellement novateur du projet réside dans la cession future de propriété : dès que l’agent aura acquitté des frais fixés à un niveau volontairement abordable, le logement lui sera transféré à titre définitif. Ce dispositif transforme le logement de fonction en levier d’ascension sociale et fidélise durablement les effectifs – un avantage stratégique pour l’État, qui mise sur la stabilité du corps policier.

Autour des habitations, l’aménageur déploie un écosystème complet : centre de santé, galerie marchande, terrain de football, plateau multisport et aires de jeux pour enfants. Ce schéma “quartier intégré” vise un double objectif : soulager les familles du temps perdu en déplacements et renforcer la cohésion professionnelle par la convivialité quotidienne.

Certes, le Gabon voit fleurir des chantiers plus spectaculaires – port en eau profonde, centrales énergétiques, axes routiers structurants. Pourtant, le camp d’Essassa occupe une place singulière : il inscrit concrètement la réforme institutionnelle dans la vie de tous les jours. En multipliant les inspections inopinées, la Coordination de suivi des travaux et la hiérarchie policière rappellent à l’entreprise adjudicataire que ce projet-pilote doit être à la hauteur des attentes : rapidité d’exécution, qualité durable, exemplarité architecturale.

Lorsque les premiers titres fonciers passeront des mains de l’État à celles des policiers, la promesse trouvera sa traduction la plus visible : un badge et une clé, symboles d’un service public qui protège et qui élève. Essassa n’a peut-être pas les dimensions d’une route transgabonaise, mais il incarne avec force une idée essentielle : le progrès se mesure aussi à la dignité offerte à ceux qui veillent, chaque jour, sur la sécurité de tous.

Infrastructures
Essassa : le camp de police qui transforme les agents en propriétaires

Au sud-est de Ntoum, sur les plateaux rouges d’Essassa, s’étend un chantier de dix hectares qui illustre la volonté du président Brice Clotaire Oligui Nguema de moderniser la sécurité publique durant son septennat. À première vue, le camp de police pourrait sembler modeste face aux mégaprojets routiers ou énergétiques en cours, mais sa portée sociale et son modèle patrimonial en font une pièce maîtresse du puzzle de développement national.

Trente-et-un immeubles R+1 entièrement équipés accueilleront bientôt les forces de l’ordre et leurs familles : neuf bâtiments de deux chambres et vingt-deux de trois, chacun doté de douches et WC privatifs, d’un salon baigné de lumière, d’une cuisine fonctionnelle et d’une terrasse ouverte sur la plaine de Ntoum. L’architecture, inspirée du logement résidentiel de standing, marque une rupture nette avec les casernes traditionnelles.

Le caractère réellement novateur du projet réside dans la cession future de propriété : dès que l’agent aura acquitté des frais fixés à un niveau volontairement abordable, le logement lui sera transféré à titre définitif. Ce dispositif transforme le logement de fonction en levier d’ascension sociale et fidélise durablement les effectifs – un avantage stratégique pour l’État, qui mise sur la stabilité du corps policier.

Autour des habitations, l’aménageur déploie un écosystème complet : centre de santé, galerie marchande, terrain de football, plateau multisport et aires de jeux pour enfants. Ce schéma “quartier intégré” vise un double objectif : soulager les familles du temps perdu en déplacements et renforcer la cohésion professionnelle par la convivialité quotidienne.

Certes, le Gabon voit fleurir des chantiers plus spectaculaires – port en eau profonde, centrales énergétiques, axes routiers structurants. Pourtant, le camp d’Essassa occupe une place singulière : il inscrit concrètement la réforme institutionnelle dans la vie de tous les jours. En multipliant les inspections inopinées, la Coordination de suivi des travaux et la hiérarchie policière rappellent à l’entreprise adjudicataire que ce projet-pilote doit être à la hauteur des attentes : rapidité d’exécution, qualité durable, exemplarité architecturale.

Lorsque les premiers titres fonciers passeront des mains de l’État à celles des policiers, la promesse trouvera sa traduction la plus visible : un badge et une clé, symboles d’un service public qui protège et qui élève. Essassa n’a peut-être pas les dimensions d’une route transgabonaise, mais il incarne avec force une idée essentielle : le progrès se mesure aussi à la dignité offerte à ceux qui veillent, chaque jour, sur la sécurité de tous.

Bientôt Bakoumba sera connecté à l’avenir par une Médiatiques

La construction d’une médiathèque moderne au cœur de Bakoumba, dans le quartier Lelalawè, marque un tournant décisif dans la politique d’inclusion culturelle et numérique engagée par les plus hautes autorités gabonaises. Bien plus qu’un simple chantier d’infrastructure, ce projet incarne une ambition : celle du Président de la Transition, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, de rapprocher les savoirs et les opportunités des jeunes Gabonais, quel que soit leur lieu de résidence.

Pensée comme un véritable pôle de savoir et d’innovation, la médiathèque de Bakoumba, fruit d’un partenariat entre l’État gabonais et le groupe Eramet-Comilog, via sa Direction du Développement durable, avance à un rythme soutenu. Les travaux lancés le 5 novembre 2024 affichent déjà un taux d’exécution de plus de 75%, preuve de la volonté commune d’en faire un modèle de rapidité et d’efficacité en matière de politique publique adossée à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).

Cette réalisation n’aurait pu voir le jour sans l’impulsion directe du Ministre des Mines et des Ressources Géologiques, Monsieur Giles Nembe, dont l’activisme à la tête de son département a permis de concrétiser une synergie exemplaire entre secteur public et secteur privé. Ce projet illustre également la capacité du gouvernement de Transition à faire du développement territorial une réalité tangible, loin des capitales et des grands centres urbains.

Pour le Président Oligui Nguema, cette médiathèque est bien plus qu’un bâtiment. Elle est un symbole. Un symbole de justice territoriale et d’équité générationnelle. Le chef de l’État a toujours affirmé sa volonté de donner les mêmes chances à tous les enfants du Gabon. Et ce, qu’ils vivent à Bakoumba, Bitam, Port-Gentil ou Franceville. À travers cette initiative, il confirme que la jeunesse reste au cœur de son projet de société.

L’équipement, qui accueillera à terme jusqu’à 150 usagers, comprendra non seulement une bibliothèque numérique avec un accès aux ressources éducatives modernes, mais également une bibliothèque traditionnelle, ainsi qu’une salle de conférences de 50 places. Il s’agit là d’un outil essentiel pour former, informer et éveiller l’esprit critique des jeunes. Une condition sine qua non pour préparer une génération gabonaise plus outillée, mieux connectée et pleinement insérée dans les mutations du monde contemporain.

Au-delà du symbole, cette médiathèque introduit à Bakoumba une dynamique nouvelle : celle de l’accès à l’information, à la formation continue et au débat d’idées. C’est une promesse d’émancipation, un levier d’espoir, mais aussi une stratégie efficace pour lutter contre l’exode rural et le désœuvrement, qui affectent une partie de la jeunesse provinciale.

En définitive, en investissant dans l’intelligence et la culture, le Président Oligui Nguema réaffirme que l’avenir du Gabon ne se construira pas dans la marginalisation de certains territoires, mais bien dans l’unité, la cohésion et l’élévation collective. Et Bakoumba, désormais, n’est plus en marge de cette ambition. Elle en est un maillon fort.

Actualités
Bientôt Bakoumba sera connecté à l’avenir par une Médiatiques

La construction d’une médiathèque moderne au cœur de Bakoumba, dans le quartier Lelalawè, marque un tournant décisif dans la politique d’inclusion culturelle et numérique engagée par les plus hautes autorités gabonaises. Bien plus qu’un simple chantier d’infrastructure, ce projet incarne une ambition : celle du Président de la Transition, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, de rapprocher les savoirs et les opportunités des jeunes Gabonais, quel que soit leur lieu de résidence.

Pensée comme un véritable pôle de savoir et d’innovation, la médiathèque de Bakoumba, fruit d’un partenariat entre l’État gabonais et le groupe Eramet-Comilog, via sa Direction du Développement durable, avance à un rythme soutenu. Les travaux lancés le 5 novembre 2024 affichent déjà un taux d’exécution de plus de 75%, preuve de la volonté commune d’en faire un modèle de rapidité et d’efficacité en matière de politique publique adossée à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).

Cette réalisation n’aurait pu voir le jour sans l’impulsion directe du Ministre des Mines et des Ressources Géologiques, Monsieur Giles Nembe, dont l’activisme à la tête de son département a permis de concrétiser une synergie exemplaire entre secteur public et secteur privé. Ce projet illustre également la capacité du gouvernement de Transition à faire du développement territorial une réalité tangible, loin des capitales et des grands centres urbains.

Pour le Président Oligui Nguema, cette médiathèque est bien plus qu’un bâtiment. Elle est un symbole. Un symbole de justice territoriale et d’équité générationnelle. Le chef de l’État a toujours affirmé sa volonté de donner les mêmes chances à tous les enfants du Gabon. Et ce, qu’ils vivent à Bakoumba, Bitam, Port-Gentil ou Franceville. À travers cette initiative, il confirme que la jeunesse reste au cœur de son projet de société.

L’équipement, qui accueillera à terme jusqu’à 150 usagers, comprendra non seulement une bibliothèque numérique avec un accès aux ressources éducatives modernes, mais également une bibliothèque traditionnelle, ainsi qu’une salle de conférences de 50 places. Il s’agit là d’un outil essentiel pour former, informer et éveiller l’esprit critique des jeunes. Une condition sine qua non pour préparer une génération gabonaise plus outillée, mieux connectée et pleinement insérée dans les mutations du monde contemporain.

Au-delà du symbole, cette médiathèque introduit à Bakoumba une dynamique nouvelle : celle de l’accès à l’information, à la formation continue et au débat d’idées. C’est une promesse d’émancipation, un levier d’espoir, mais aussi une stratégie efficace pour lutter contre l’exode rural et le désœuvrement, qui affectent une partie de la jeunesse provinciale.

En définitive, en investissant dans l’intelligence et la culture, le Président Oligui Nguema réaffirme que l’avenir du Gabon ne se construira pas dans la marginalisation de certains territoires, mais bien dans l’unité, la cohésion et l’élévation collective. Et Bakoumba, désormais, n’est plus en marge de cette ambition. Elle en est un maillon fort.

Cité Bikélé M’vett : 170 logements, vitrine d’un urbanisme durable sous l’impulsion du Président Oligui Nguema

À Bikélé M’vett dans la commune de Ntoum à l’est de Libreville, le logement cesse d’être un simple toit pour devenir un instrument de cohésion sociale et de fierté nationale. Sur cinq hectares soigneusement aménagés, 170 habitats — 46 villas Wongo, 28 duplex Ivala et 96 appartements Ebana — portent chacun un nom issu des langues gabonaises : un parti pris culturel clair voulu par le Président Brice Clotaire Oligui Nguema. En confiant l’exécution à l’entreprise 100 % locale Trianon BTP, le chef de l’État renforce la chaîne de valeur intérieure, crée des emplois qualifiés et montre que l’excellence gabonaise peut rivaliser avec les standards internationaux.

Le projet, lancé en janvier 2024, illustre une approche d’urbanisme raisonnée : densité maîtrisée, orientation optimale des bâtiments, allées arborées pour la ventilation naturelle et jardins privatifs qui améliorent le microclimat. Les premières parcelles disposent déjà de l’adduction en eau potable et en électricité, preuve d’une planification rigoureuse où l’infrastructure précède l’emménagement. À terme, l’ensemble sera desservi par un terrain multisport, un véritable stade de football, un centre commercial et une antenne de santé, réduisant ainsi les déplacements et renforçant la qualité de vie quotidienne.

Sur le plan socio-économique, Bikélé M’vett anticipe la croissance du Grand Libreville en proposant un modèle de mixité résidentielle adapté à des revenus variés : les appartements Ebana répondent aux jeunes ménages, les duplex Ivala offrent une solution évolutive pour les familles en ascension, tandis que les villas Wongo ancrent durablement la classe moyenne dans la commune. Cette diversité crée un tissu social équilibré, limite la spéculation foncière et favorise l’émergence de services de proximité viables.

La cité traduit également une vision durable : matériaux locaux, gestion raisonnée des eaux pluviales et espaces verts continus qui luttent contre l’îlot de chaleur urbain. L’intégration d’un grand équipement sportif et d’un pôle de santé rapproche loisirs, prévention et soins, démontrant que la santé publique se construit autant par l’environnement que par la médecine.

En somme, la Cité Bikélé M’vett dépasse la production de logements pour devenir un laboratoire de gouvernance urbaine où culture, économie et développement durable convergent. Elle cristallise l’engagement du Président Oligui Nguema à replacer l’humain et l’excellence locale au cœur de chaque chantier, offrant aux Gabonais non seulement des clés de maison, mais aussi des clés d’avenir.

 

Infrastructures
Cité Bikélé M’vett : 170 logements, vitrine d’un urbanisme durable sous l’impulsion du Président Oligui Nguema

À Bikélé M’vett dans la commune de Ntoum à l’est de Libreville, le logement cesse d’être un simple toit pour devenir un instrument de cohésion sociale et de fierté nationale. Sur cinq hectares soigneusement aménagés, 170 habitats — 46 villas Wongo, 28 duplex Ivala et 96 appartements Ebana — portent chacun un nom issu des langues gabonaises : un parti pris culturel clair voulu par le Président Brice Clotaire Oligui Nguema. En confiant l’exécution à l’entreprise 100 % locale Trianon BTP, le chef de l’État renforce la chaîne de valeur intérieure, crée des emplois qualifiés et montre que l’excellence gabonaise peut rivaliser avec les standards internationaux.

Le projet, lancé en janvier 2024, illustre une approche d’urbanisme raisonnée : densité maîtrisée, orientation optimale des bâtiments, allées arborées pour la ventilation naturelle et jardins privatifs qui améliorent le microclimat. Les premières parcelles disposent déjà de l’adduction en eau potable et en électricité, preuve d’une planification rigoureuse où l’infrastructure précède l’emménagement. À terme, l’ensemble sera desservi par un terrain multisport, un véritable stade de football, un centre commercial et une antenne de santé, réduisant ainsi les déplacements et renforçant la qualité de vie quotidienne.

Sur le plan socio-économique, Bikélé M’vett anticipe la croissance du Grand Libreville en proposant un modèle de mixité résidentielle adapté à des revenus variés : les appartements Ebana répondent aux jeunes ménages, les duplex Ivala offrent une solution évolutive pour les familles en ascension, tandis que les villas Wongo ancrent durablement la classe moyenne dans la commune. Cette diversité crée un tissu social équilibré, limite la spéculation foncière et favorise l’émergence de services de proximité viables.

La cité traduit également une vision durable : matériaux locaux, gestion raisonnée des eaux pluviales et espaces verts continus qui luttent contre l’îlot de chaleur urbain. L’intégration d’un grand équipement sportif et d’un pôle de santé rapproche loisirs, prévention et soins, démontrant que la santé publique se construit autant par l’environnement que par la médecine.

En somme, la Cité Bikélé M’vett dépasse la production de logements pour devenir un laboratoire de gouvernance urbaine où culture, économie et développement durable convergent. Elle cristallise l’engagement du Président Oligui Nguema à replacer l’humain et l’excellence locale au cœur de chaque chantier, offrant aux Gabonais non seulement des clés de maison, mais aussi des clés d’avenir.

 

Bikélé-Nzong : la nouvelle vitrine du logement social et de l’inclusion urbaine au Gabon

La Cité de Bikélé-Nzong s’impose déjà comme l’illustration la plus tangible de la « politique du résultat » défendue depuis septembre 2023 par le Président Brice Clotaire Oligui Nguema. Conçue sur dix hectares au sud-est de Libreville, l’opération dépasse la simple addition de 322 appartements : elle réinjecte une logique de ville-service dans une périphérie longtemps reléguée au rang de dortoir. Les deux écoles, le dispensaire, le supermarché et les plateaux sportifs intégrés au plan-masse créent un écosystème où l’éducation, la santé, le commerce de proximité et le loisir cohabitent à moins de cinq minutes à pied des logements – un gain de temps et de dépenses de transport décisif pour des ménages modestes.

Sur le plan économique, la fabrication in-situ des briques, pavés et canalettes rompt avec l’import-dépendance chronique du secteur du BTP. En internalisant la chaîne de valeur, le maître d’ouvrage gabonais Wi Manut Services sécurise ses coûts, réduit l’empreinte carbone des approvisionnements et, surtout, crée un vivier d’emplois qualifiés pour la jeunesse locale. Cette démarche « made in Gabon » épouse la stratégie gouvernementale de substitution aux importations et participe à diversifier une économie encore dominée par l’extraction pétro-minière.

Le volet énergétique confié à la SEEG parachève la logique d’urbanisme durable : lignes souterraines, réseaux basse-tension intelligents et réserves foncières pour le solaire ouvrent la porte à une alimentation continue, indispensable aux frigos domestiques comme aux futures micro-entreprises du quartier. L’abandon de la latérite au profit du pavé stabilisé prolonge cette ambition de durabilité, limitant poussière en saison sèche et ornières en saison des pluies.

Sur le front social, la Cité répond à l’urgence d’un marché locatif saturé et spéculatif : normes F3 et F4, luminosité traversante, ventilation naturelle et espaces verts mutualisés redonnent de la dignité à des familles trop longtemps contraintes à l’habitat informel. Chaque clé remise symbolise la transition d’une survie précaire vers une citoyenneté pleine, capable de fonder un capital familial et de s’inscrire dans la durée.

Enfin, l’opération agit comme un signal-fort politique : en préférant la périphérie à la vitrine urbaine, le Chef de l’État assume une inversion des priorités qui crédibilise son discours sur le rééquilibrage territorial. Bikélé-Nzong devient ainsi laboratoire d’un modèle reproductible, allier logement social, services de base et économie locale dans un même périmètre — appelé à irriguer l’ensemble du Grand Libreville, puis les capitales provinciales.

En somme, la Cité de Bikélé-Nzong n’est pas seulement un programme immobilier ; elle cristallise un nouvel art de gouverner où l’infrastructure est pensée comme levier simultané de cohésion sociale, de création d’emplois et de planification urbaine durable.

 

Infrastructures
Bikélé-Nzong : la nouvelle vitrine du logement social et de l’inclusion urbaine au Gabon

La Cité de Bikélé-Nzong s’impose déjà comme l’illustration la plus tangible de la « politique du résultat » défendue depuis septembre 2023 par le Président Brice Clotaire Oligui Nguema. Conçue sur dix hectares au sud-est de Libreville, l’opération dépasse la simple addition de 322 appartements : elle réinjecte une logique de ville-service dans une périphérie longtemps reléguée au rang de dortoir. Les deux écoles, le dispensaire, le supermarché et les plateaux sportifs intégrés au plan-masse créent un écosystème où l’éducation, la santé, le commerce de proximité et le loisir cohabitent à moins de cinq minutes à pied des logements – un gain de temps et de dépenses de transport décisif pour des ménages modestes.

Sur le plan économique, la fabrication in-situ des briques, pavés et canalettes rompt avec l’import-dépendance chronique du secteur du BTP. En internalisant la chaîne de valeur, le maître d’ouvrage gabonais Wi Manut Services sécurise ses coûts, réduit l’empreinte carbone des approvisionnements et, surtout, crée un vivier d’emplois qualifiés pour la jeunesse locale. Cette démarche « made in Gabon » épouse la stratégie gouvernementale de substitution aux importations et participe à diversifier une économie encore dominée par l’extraction pétro-minière.

Le volet énergétique confié à la SEEG parachève la logique d’urbanisme durable : lignes souterraines, réseaux basse-tension intelligents et réserves foncières pour le solaire ouvrent la porte à une alimentation continue, indispensable aux frigos domestiques comme aux futures micro-entreprises du quartier. L’abandon de la latérite au profit du pavé stabilisé prolonge cette ambition de durabilité, limitant poussière en saison sèche et ornières en saison des pluies.

Sur le front social, la Cité répond à l’urgence d’un marché locatif saturé et spéculatif : normes F3 et F4, luminosité traversante, ventilation naturelle et espaces verts mutualisés redonnent de la dignité à des familles trop longtemps contraintes à l’habitat informel. Chaque clé remise symbolise la transition d’une survie précaire vers une citoyenneté pleine, capable de fonder un capital familial et de s’inscrire dans la durée.

Enfin, l’opération agit comme un signal-fort politique : en préférant la périphérie à la vitrine urbaine, le Chef de l’État assume une inversion des priorités qui crédibilise son discours sur le rééquilibrage territorial. Bikélé-Nzong devient ainsi laboratoire d’un modèle reproductible, allier logement social, services de base et économie locale dans un même périmètre — appelé à irriguer l’ensemble du Grand Libreville, puis les capitales provinciales.

En somme, la Cité de Bikélé-Nzong n’est pas seulement un programme immobilier ; elle cristallise un nouvel art de gouverner où l’infrastructure est pensée comme levier simultané de cohésion sociale, de création d’emplois et de planification urbaine durable.

 

Le château d’eau de Bikélé-Nzong : un pilier hydraulique pour le renouveau du Grand Libreville

Implanté dans le quartier de Bikélé-Nzong, au cœur du troisième arrondissement de la commune de Ntoum, le nouveau château d’eau d’une capacité impressionnante de 1 500 mètres cubes s’impose déjà comme une infrastructure stratégique dans la modernisation des réseaux de distribution d’eau potable au Gabon. Entièrement achevé, cet ouvrage d’envergure attend désormais sa mise en service officielle par le Gouvernement, dans le sillage des récentes avancées impulsées par le Président de la République, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, notamment l’inauguration de la station de pompage du PK5 et celle d’un autre château d’eau au centre-ville de Ntoum.

La position géographique de Bikélé-Nzong, à l’est de Libreville, dans une zone en pleine mutation urbaine et démographique, confère à cette infrastructure une importance particulière. Alors que de nouveaux lotissements voient le jour, que les projets d’habitat social se multiplient et que la pression foncière augmente, le besoin en eau potable devient un enjeu vital. Ce château d’eau vient donc répondre à une double nécessité : résorber le déficit historique de desserte en eau dans la périphérie de la capitale et accompagner durablement l’essor urbain de la commune de Ntoum.

Ce projet structurant s’inscrit dans le cadre du Programme Intégré pour l’Alimentation en Eau Potable et l’Assainissement de Libreville (PIEPAL), financé par la Banque Africaine de Développement (BAD). Avec une surface d’implantation d’un peu plus de 37 mètres carrés, ce château d’eau fait partie d’un vaste réseau de modernisation incluant 310 kilomètres de canalisations réhabilitées, l’installation de 21 000 compteurs, ainsi que la construction ou la rénovation d’autres châteaux d’eau à Ntoum, Alénakiri et Sotega.

Au-delà de sa dimension technique, la réalisation de ce château d’eau est aussi hautement symbolique. Elle incarne la concrétisation d’une volonté politique forte, celle d’un État soucieux de restaurer la dignité des populations longtemps privées d’un accès stable et sécurisé à l’eau potable. Pendant près d’une décennie, les habitants de cette partie du Grand Libreville ont vécu au rythme des pénuries et des systèmes D. Désormais, ce château d’eau représente l’espoir d’un quotidien apaisé, où l’eau ne sera plus un luxe mais un droit garanti.

Avec une capacité à alimenter des milliers de foyers, l’ouvrage de Bikélé-Nzong s’annonce comme un jalon clé dans la souveraineté hydraulique de la capitale gabonaise. Il témoigne également du sérieux et de l’ambition du Chef de l’État, qui inscrit son action dans la durée, avec une vision d’ensemble portée par des résultats concrets. La mise en service imminente de cette infrastructure devrait marquer un tournant dans la gestion des services essentiels, et placer le Grand Libreville sur la voie du développement

Eaux-Energies
Le château d’eau de Bikélé-Nzong : un pilier hydraulique pour le renouveau du Grand Libreville

Implanté dans le quartier de Bikélé-Nzong, au cœur du troisième arrondissement de la commune de Ntoum, le nouveau château d’eau d’une capacité impressionnante de 1 500 mètres cubes s’impose déjà comme une infrastructure stratégique dans la modernisation des réseaux de distribution d’eau potable au Gabon. Entièrement achevé, cet ouvrage d’envergure attend désormais sa mise en service officielle par le Gouvernement, dans le sillage des récentes avancées impulsées par le Président de la République, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, notamment l’inauguration de la station de pompage du PK5 et celle d’un autre château d’eau au centre-ville de Ntoum.

La position géographique de Bikélé-Nzong, à l’est de Libreville, dans une zone en pleine mutation urbaine et démographique, confère à cette infrastructure une importance particulière. Alors que de nouveaux lotissements voient le jour, que les projets d’habitat social se multiplient et que la pression foncière augmente, le besoin en eau potable devient un enjeu vital. Ce château d’eau vient donc répondre à une double nécessité : résorber le déficit historique de desserte en eau dans la périphérie de la capitale et accompagner durablement l’essor urbain de la commune de Ntoum.

Ce projet structurant s’inscrit dans le cadre du Programme Intégré pour l’Alimentation en Eau Potable et l’Assainissement de Libreville (PIEPAL), financé par la Banque Africaine de Développement (BAD). Avec une surface d’implantation d’un peu plus de 37 mètres carrés, ce château d’eau fait partie d’un vaste réseau de modernisation incluant 310 kilomètres de canalisations réhabilitées, l’installation de 21 000 compteurs, ainsi que la construction ou la rénovation d’autres châteaux d’eau à Ntoum, Alénakiri et Sotega.

Au-delà de sa dimension technique, la réalisation de ce château d’eau est aussi hautement symbolique. Elle incarne la concrétisation d’une volonté politique forte, celle d’un État soucieux de restaurer la dignité des populations longtemps privées d’un accès stable et sécurisé à l’eau potable. Pendant près d’une décennie, les habitants de cette partie du Grand Libreville ont vécu au rythme des pénuries et des systèmes D. Désormais, ce château d’eau représente l’espoir d’un quotidien apaisé, où l’eau ne sera plus un luxe mais un droit garanti.

Avec une capacité à alimenter des milliers de foyers, l’ouvrage de Bikélé-Nzong s’annonce comme un jalon clé dans la souveraineté hydraulique de la capitale gabonaise. Il témoigne également du sérieux et de l’ambition du Chef de l’État, qui inscrit son action dans la durée, avec une vision d’ensemble portée par des résultats concrets. La mise en service imminente de cette infrastructure devrait marquer un tournant dans la gestion des services essentiels, et placer le Grand Libreville sur la voie du développement